Omar Khayyam
éditions : William Blake & co
2019, Bordeaux
124 pages, 33/25
édition bibliophilique en collaboration avec Pierre Lawton sur beau papier.
ILLUSTRATION : texte entièrement calligraphié.
THÈME : illustrations pleine pages très nombreuses
UN QUATRAIN : Cette roue sous laquelle nous tournonsEst pareille à une lanterne magiqueLe soleil est la lampe ; le monde, l’écran ;Nous sommes les images qui passent.Marc Halévy
éditions : MASSARO
2019, PARIS
185 pages, 22cm/15cm
ILLUSTRATION : 44 calligraphies.
THÈME : illustration des têtes de chaque chapitre.
QUATRIÈME DE COUVERTURE : Les vingt-deux lettres de l’alphabet hébreu carré ont écrit les vingt-quatre livres de la Bible hébraïque. Toute la foi, la vie, l’histoire et l’identité de la Maison d’Israël sont dans ces vingt-deux signes. Outre leur époustouflante esthétique, chacun de ces signes est, à la fois, son, graphie, nom, nombre et symbole. La Kabbale qui est la tradition mystique et ésotérique du judaïsme a tourné ces vingt-deux lettres dans tous les sens et en a fait le cœur de son étude, le tremplin de ses extases. Ce livre propose une « théorie » des lettres… mais au sens grec de Theôria : contemplation divine ! Une théorie pratique, en somme. Une invitation à entrer dans ce monde magique, alchimique, ésotérique, initiatique et herméneutique… de la « science des lettres ». Allons, osons ouvrir cette porte dont les vingt-deux lettres sont les clés !Adin Steinsaltz
éditions : ALBIN MICHEL
2013, PARIS
185 pages, 22cm/15cm
ILLUSTRATION : 70 calligraphies et photographies
THÈME : illustration du récit de la Pâque juive présenté par le maître Adin Steinsaltz.
QUATRIÈME DE COUVERTURE : La fête de Pâque ou Pessa’h, qui commémore et fait revivre la Sortie d‘Égypte, peut être considérée comme la célébration la plus importante de l’année juive. Sa première soirée, en particulier, foisonne d’éléments symboliques, tant au niveau des aliments pains azymes, herbes amères, agneau pascal à l’époque du Temple de Jérusalem qu’au niveau du commandement unique de lire et de commenter, jusqu’au bout de la nuit, le récit de la Sortie d Egypte. Depuis des millénaires, les familles juives se réunissent donc ce soir-là pour lire la Hagada, le « récit », patchwork de versets bibliques et de commentaires midrashiques scandé par des rituels symboliques dont la fonction est avant tout d’aiguiser la curiosité des participants et de les inciter à poser des questions. Il fallait tout l’art du rabbin Adin Steinsaltz pour rendre accessible ce texte fondamental au grand public, juif ou non. Il le fait ici avec sa bienveillance habituelle, ne négligeant ni l’élucidation pédagogique, ni l’exploration des profondeurs mystiques qui font la richesse de cette tradition. L’ouvrage comprend également le texte hébraïque d’origine et sa traduction en français, le tout agrémenté de superbes illustrations de Frank Lalou.Jean-Paul Michel
éditions : William Blake & co
2000, BORDEAUX
36 pages sur Arche, 31cm/17cm
THÈME :
40 aphorismes de Jean-Paul Michel. À l’occasion des 40 ans de Lalou
EXTRAIT :
L’éternité existe, mais par commodité humaine, nous l’habillons de temporalité.Ce que nous sommes condamnés à manquer, le langage le fait advenir.L’invention du père est cela : fonder.Un signe est une borne dans l’illimité montre-moi ton signe, je connaîtrai ton infini.Hannah Senesh
traduction : Liora Elloul
éditions :
CARACTÈRES, 2004 PARIS
130 pages, 19cm/10cm
ILLUSTRATION : 19 calligraphies pour chacun des 19 poèmes en hébreu de Hannah Senesh.
THÈME : pour la première fois en France la traduction par Liora Elloul des poèmes de cette héroïne juive.
EXTRAIT PRÉFACE PAR LIORA ELLOUL : Viscéralement attachée à notre langue française et à sa culture, j’ai toujours regretté que dans les diverses anthologies consacrées à la poésie juive, je n’aie trouvé aucune trace de ses magnifiques poésies, sauf celui de Bénie est l’allumette. Certains poèmes sont à la hauteur des haïkus japonais, aussi purs que le diamant, aussi aériens que des bulles de savon et aussi profonds que la prière qui repose sur le bord de nos lèvres. Aujourd’hui, je peux dire avec fierté que Hannah Senesh a enfin trouvé sa place aux côtés des poètes juifs traduits en français comme l’immense Bialik. J’ai consacré de nombreuses recherches sur la vie de cette jeune fille qui frisaient parfois l’enquête policière. Je la connais si bien qu’elle vit sans cesse à mes côtés.